J'utilise le flash externe YS 50. Ce flash couvre les objectifs jusqu'à 20mm. Pour la connexion, il faut retirer le bouchon sur le côté de l'appareil. Impossible de se tromper de sens, il y a un repère (bien sûr il ne faut pas forcer...)

Entretenir le joint régulièrement est bien sûr indispensable.

Il faut 4 piles à changer environ toutes les 3 plongées. Actuellement, j'utilise des accus NiMh que je charge après chaque plongée (j'ai plusieurs jeux d'accus que j'alterne)

En cas de noyade du compartiment des piles, il faut  les retirer le plus vite possible car sinon elles coulent et encrassent le flash. Ca m'est arrivé suite à un choc sur le flash mais j'ai pu le sauver en le nettoyant rapidement. J'ai aussi eu la bonne idée de l'éteindre sous l'eau car son chargement, avec des piles que je venais de changer, me paraissait trop long. On a donc intérêt à bien connaître son matériel. A cette occasion, je n'ai pas eu besoin de tout démonter, le compartiment des piles m'a semblé étanche indépendamment du reste puisqu'un simple nettoyage à permis de refaire fonctionner le flash (ou alors, j'ai eu vraiment de la chance).


A terre, le couple vitesse-ouverture détermine l'exposition de la photo.

Sous l'eau, le sujet est exposé, selon l'ouverture choisie, lors de l'éclair de flash.

La durée de cet éclair est très brève par rapport au temps d'ouverture (vitesse). La vitesse ne sert donc qu'à doser la lumière ambiante (fond) qui arrive sur le film.

Par exemple:

  • à 1/30, il y a plus de lumière (plus longtemps)  > fond bleu
  • à 1/60 moins de lumière > fond noir